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Selon la définition généralement retenue, la préhistoire est la période qui s’étend de l’apparition de l’homme jusqu’à l’apparition des premiers documents écrits ou premières sources historiques. S’agissant d’une civilisation particulière, la préhistoire s’achève dès lors que des sources historiques, même postérieures, sont disponibles sur cette civilisation.
La Protohistoire s’insère entre la Préhistoire et l’Histoire. C’est la période pendant laquelle une civilisation ne possède pas encore d’écriture mais apparaît déjà dans les écrits d’autres civilisations. En Europe, les Celtes et les Germains sont ainsi considérés comme protohistoriques dès lors que les auteurs grecs et romains parlent d’eux.
Le paléolithique (Âge de la pierre taillée ou Âge de la pierre ancienne), terme inventé par le préhistorien John Lubbock, désigne la première et la plus longue période de l’histoire de l’Homme. Il correspond à la dernière partie du Pléistocène (période post-glaciaire). Il est généralement subdivisé en trois :
L’Oural est une chaîne de montagnes hercyniennes qui s’étend suivant un axe nord-sud et forme la limite géographique entre l’Europe et l’Asie en Russie. Cette chaîne couvre plus de 2000 km, de la mer de Kara au nord jusqu’à la mer d’Aral, ainsi que les steppes du Kazakhstan au sud. Les monts Oural culminent à une altitude moyenne de 1000 m et comprennent trois parties :
Le néolithique (Âge de la pierre polie ou Âge de la pierre nouvelle), terme inventé par le préhistorien John Lubbock, est la dernière période de la préhistoire et la plus courte. Elle succède au Mésolithique.
Le Mésolithique est une période de transition de la Préhistoire qui succède, à la fin du Paléolithique, à l’épipaléolithique vers -11000 et qui dure jusqu’au Néolithique, vers -5500.
L’espace sur lequel va se former la future Étrurie est déjà nettement dessiné au début du premier millénaire av. J.-C. et relève de ce que les archéologues ont nommé « culture de Villanova » (du nom d’un site archéologique majeur, situé dans la région de Bologne). Cette culture néolithique correspond ensuite à une entité ethnique unique qui connaît le travail des métaux, notamment celui du fer.
Un algorithme récursif s’appelle lui-même. Pour éviter une exécution infinie, une condition d’arrêt permet, lorsqu’elle est vérifiée, de sortir de la boucle ainsi créée.
Adolf Loos (né en 1870, à Brno (Hongrie), mort en 1933, à Vienne (Autriche)) est un architecte autrichien, participant au mouvement de l’Art Nouveau, dont il dénonce les excès.
Le mobilier, à l'opposé de l'immobilier, désigne ce qui est « mobile » par opposition à l'« immeuble », quelle que soit sa vocation. Le mobilier est donc assimilable à la « décoration » d'un bâtiment, au sens large, même si l'usage commun tend à dissocier les meubles proprement dits des autres objets de décoration.
Le droit canonique (parfois appelé droit canon) ou jus canonicum (en latin), est l’ensemble des lois et des règlements adoptés ou acceptés par les autorités catholiques pour le gouvernement de l’Église et de ses fidèles. Le droit canonique n’a pas de portée sur les accords conclus par l’Église, ni des questions de dogme à proprement parler, ni enfin sur la liturgie.
Le Décret de Gratien (en latin Concordantia discordantium canonum, « concorde des canons discordants », plus connu sous le titre Decretum Gratiani) est une œuvre majeure du droit canonique, rédigé aux alentours de 1140, qui rassemble plus de 3800 textes : canons dits apostoliques, textes patristiques, décrétales pontificales, décrets conciliaires, lois romaines et franques, etc. Il fait autorité jusqu’au Code de droit canonique de 1917.
Cette liste des pontifes de Rome présente les évêques de Rome, dotés du pouvoir d’un métropolite, puis les « papes » (à partir de 325, le titre de « pape » n’apparaissant qu’en 306) selon la tradition du Vatican. Chaque entrée renvoie à l’article biographique correspondant, lorsqu’il existe.
Le droit canonique est le droit qui régit l’Église catholique romaine. Apparu dès les premiers siècles du christianisme, il ne cesse de s’adapter pour suivre les évolutions de la société et de l’institution. À l’instar du droit romain, l’approche historique du droit canonique fait souvent partie des enseignements d’histoire du droit.
On nomme Fausses décrétales ou encore Pseudo-Isidoriana une collection de décrétales pseudépigraphes, faussement attribuées à un certain Isidore Mercator, lui-même longtemps confondu avec Isidore de Séville. Rédigées entre 847 et 852, les Fausses décrétales constituent l’une des plus importantes sources de droit canonique au Moyen Âge.
Le Dictatus papæ est un ensemble de 27 propositions, publié par le pape Grégoire VII (dont le nom est à l’origine de la Réforme grégorienne) en 1075. C’est une œuvre majeure du droit canonique au Moyen Âge, qui vise à établir la monarchie absolue du Christ sur l’ensemble du monde (dominium mundi), et donc celle de son vicaire, le pape. Le texte se trouve donc aux origines de la théocratie pontificale.