Gaulois (langue)

Intérêt
Le Gaulois, également nommé Gallique avant 1475, est une langue celtique éteinte, parlé dans les Gaules avant la conquête romaine et au moins jusqu’au VIe siècle : son usage au sein de la noblesse auvergnate est mentionné pour la dernière fois par Grégoire de Tours dans une de ses lettres, au VIIe siècle.
Table des matières


1. Généralités

Les Gaulois de la période protohistorique parlaient vraisemblablement plusieurs dialectes d’une même langue celtique ; ceux-ci ont certainement cotoyé un substrat préceltique hétérogène dont, à l’exception du basque – son extension était vraisemblablement plus importante qu’aujourd’hui –, il ne reste de traces que dans la toponymie ou l’hydronymie (pour le « ligure », par exemple, les noms en -asc/osc : Manosque, Aubignosc, etc. Seine (Sequana) serait également d’origine pré-celtique). Il paraît impossible de connaître l’influence de ces substrats sur la dialectalisation et l’évolution du gaulois (à ce sujet, on pourra consulter l’article sur la toponymie).

Aussi, on ne connaît que peu de choses de la langue gauloise, dont les témoignages écrits sont très parcellaires, et généralement recueillis sur des objets votifs, à l’exception de trois pièces majeures : les plombs du Larzac, de Chamalières, de Lezoux. On a aussi retrouvé un grand calendrier à Coligny, dans l’Ain. Les Gaulois, de tradition orale, n’utilisèrent pas un alphabet propre, mais ont successivement emprunté celui des Étrusques, des Grecs et des Romains avec lesquels ils étaient en contact. La rareté des témoignages écrits pourraît être en partie due à un interdit religieux (cf. l’article Druides).

En linguistique, Le gaulois fait partie du groupe celtique continental (appartenant à la famille indo-européenne) : toutes les langues de ce groupe sont aujourd’hui éteintes, même si quelques mots subsistent dans certaines langues d’Europe et surtout dans la toponymie (noms de villes françaises en -euil, -jouls, etc.). Le Français actuel possède quant à lui un peu plus d’une centaine de mots d’origine gauloise[1].

Aucune des langues celtiques actuelles (du groupe dit insulaire) ne provient de celle parlée par les Gaulois (même s’il semble que le gaulois était plus proche du celtique insulaire primitif que les autres langues celtiques continentales). À une époque, on a tenté d’expliquer certaines particularités du dialecte vannetais du breton par l’influence d’un substrat gaulois. Aujourd’hui, la plupart des linguistes ont rejeté cette hypothèse et expliquent, a contrario certaines de ces particularités dialectales par l’existence d’un substrat gallo-romain plus important dans la région de Vannes.

2. Alphabet

Les Gaulois de Cisalpine utilisèrent un alphabet gallo-étrusque : celui-ci manque de précision pour noter la prononciation (confusion /t /d ou /k /g). L'alphabet gallo-grec, diffusé à partir de la région de Marseille, est une adaptation de l'alphabet grec à la langue gauloise : il est employé avant la conquête romaine, puis il est supplanté par une adaptation de l'alphabet latin.

3. Syntaxe & vocabulaire

La syntaxe de la langue gauloise est quasi-inconnue. On a reconnu quelques coordinations, peut-être quelques pronoms relatifs, anaphoriques et démonstratifs. L'ordre de la phrase paraît être sujet/verbe/compléments.

3.1. Noms communs

Pour un glossaire relativement complet bien qu’ancien, il est encore pertinent de consulter la Collection pour l’étude des antiquités nationales, t. II, La langue gauloise. Grammaire, textes et glossaire de G. Dottin (1920)[2].

Parmi les noms gaulois attestés on peut citer dans l'ordre alphabétique, toujours en restant conscient que le sens peut varier et que la forme écrite demeure approximative :

  • ABANCOS "castor"
  • AEDOS "foyer"
  • ALAUDA "alouette"
  • ANDERA "génisse"
  • ARATRON "araire"
  • ARGENTON "argent"
  • ARTOS "ours"
  • BERROS "court"
  • BITU "monde"
  • BLATON "blé"
  • BORBETOS "bouilli"
  • BRATU "jugement"
  • BROGOS "pays"
  • CABALLOS "cheval"
  • CALETOS "dur"
  • CARPENTON "char"
  • CARRUCA "charrette"
  • CASSANOS "chêne"
  • CASSOS¹ "frisé"
  • CASSOS² "fougueux"
  • CAVANNOS "chat-huant"
  • CINGETOS "guerrier"
  • CINTOS "premier"
  • COCOLOS "quenouille"
  • CRIXOS "chevelu"
  • CUMBA "val"
  • DAGOS "bon"
  • DEGOS "brûlure"
  • DERCOS "vue"
  • DERVOS "chêne"
  • DRAUCA "ivraie"
  • DUBRON "eau"
  • DUBOS "noir"
  • DUMNON "monde"
  • DUNON "citadelle"
  • DURNOS "poing"
  • DURON "fort"
  • EBUROS "if"
  • ELARCA "cygne"
  • EPOS "cheval"
  • ESCA "rivière"
  • ESOX "saumon"
  • GABALOS "fourche"
  • GABRA "chèvre"
  • GARANOS "grue"
  • GNATOS "né"
  • IANTOS "zèle"
  • ISARNOS "fer"
  • ISAROS "sacré"
  • IVOS "if'
  • IALOS "clairière"
  • IAROS "poule"
  • IOVINCOS "jeune"
  • LABAROS "parole"
  • LAROS "plancher"
  • LAUTRON "bain"
  • LAVENOS "joyeux"
  • LEMOS "orme"
  • LESTRON "vaisseau"
  • LETOS "gris"
  • LISSOS "cour"
  • LOMBOS "nu"
  • LITOS "large"
  • LIVOS "couleur"
  • LUGERNOS "lumière"
  • LUSA "baie"
  • MANTALON "balance"
  • MARCOS "cheval"
  • MAROS "grand"
  • MARVOS "mort"
  • MATOS "bon"
  • MEDU "miel"
  • METLOS "moissonneur"
  • MELISSOS "doux"
  • MELLOS "gonflé"
  • MESGA "petit lait"
  • MINNOS "petit"
  • MOCCOS "porc"
  • MOLTOS "mouton"
  • NANTOS "val"
  • NASCA "lien"
  • NEMETON "sanctuaire"
  • NAUDA "noue"
  • NEMOS "ciel"
  • NERTOS "fort"
  • NOVIOS "nouveau"
  • OLCA "champ"
  • OLCOS "loup"
  • OMNOS "crainte"
  • ORBOS "enfant"
  • ORCOS "porc"
  • ORDOS "marteau"
  • ORGETOS "tueur"
  • PEMPOS "cinq"
  • PENNOS "tête"
  • PAUTA "patte"
  • PICTOS "rusé"
  • PRINNOS "bois"
  • RANDA "partie"
  • RATON "rempart"
  • RECTOS "droit"
  • REDA "roue"
  • RICA "sillon"
  • RIGOS "roi"
  • RITOS "gué"
  • RO- "très"
  • ROTA "roue"
  • RUNA "mystère"
  • RUSCA "écorce"
  • SACROS "hardi"
  • SANTEROS "moitié"
  • SAMARA "friche"
  • SALICOS "saule"
  • SAMOS "été"
  • SANTOS "désir"
  • SATOS "semence"
  • SEGOS "force"
  • SELGA "rate"
  • SELGOS "chasse"
  • SELVA "possession"
  • SEDOS "paix"
  • SERVOS "amer"
  • SENOS "vieux"
  • SENTOS "chemin"
  • SERRA "faucille"
  • SESCA "laîche"
  • SETOS "long"
  • SIROS "long"
  • SLUGOS "armée"
  • SMERA "mûre"
  • SOCCOS "soc"
  • SPANTION "source"
  • SPARNOS "épine"
  • SRONNOS "nez"
  • STREMON "rivière"
  • SU- "bon"
  • SUCCOS "porc"
  • SVELTOS "tourné"
  • TALOS "front"
  • TARANOS "tonnerre"
  • TARATRON "tarière"
  • TARVOS "taureau"
  • TASGOS "blaireau"
  • TAVOS "silencieux"
  • TECTOS "marche"
  • TEUTA "nation"
  • TENEDON "feu"
  • TIGERNOS "maître"
  • TONNA "vague"
  • TOLLOS "trou"
  • TRAGOS "pied"
  • TREBA "village"
  • TRI "trois-particule intensive"
  • TURCOS "porc"
  • UXELLOS "haut"
  • VAGNA "marais"
  • VABEROS "rivière"
  • VARROS "courbé"
  • VASSOS "serviteur"
  • VECTOS "combat"
  • VELLOS "meilleur"
  • VER- "sur"
  • VERGOS "colère"
  • VERNOS "aulne"
  • VICOS "combat"
  • VIDUS "arbre"
  • VINDOS "blanc"
  • VIROS "homme"
  • VIROS "vrai"
  • VLATON "pouvoir"
  • VO "sous"

3.2. Préfixes

  • NEMETO-DURON "sacré-citadelle" = Nanterre

3.3. Suffixes

  • ARTO-BRIGA "ours-forteresse"
  • EBURO-BRIGA "if-forteresse"
  • LITANO-BRIGA "large-forteresse"
  • NEMETO-BRIGA "sacré-forteresse"

3.4. Noms propres

  • CARNONOS "cornu" de CARNU "corne".
  • DIVONA "divine" de DIVOS "dieu".
  • EPONA "chevaline" de EPOS "cheval.
  • MAPONOS "filial" de MAPOS "fils".
  • RIGATONA "royale" de RIGOS "roi".

3.5. Conjonctions & adverbes de coordination

  • AC : conjonction de coordination + emploi instrumental-sociatif « avec » ; (cf bret hag, anc gall ac, gall a, irl ag « et »)
  • -C : « et », suffixe de coordination entre 2 syntagmes de même nature (verbes, noms) (cf anc irl -ch) ;
  • ETI (adv.) : « de même, encore » (cf. latin etiam) - préposition (cf. latin idem ou item) ;
  • ETIC : « et encore », introduit une relative à l’instrumental ou un dernier élément de liste ;
  • EXTOS, EXTER* : « mais » (cf gall eithr « sauf », anc irl echtar) ;
  • COETIC : « et aussi », v. etic ;
  • NEUE* : « ou » ; (cf gall neu, écos neo)
  • NU : « maintenant, actuellement » (cf irl & gall nu) ;
  • TONI (adv) : « alors ; ensuite, puis ; de plus, en outre » (cf angl then, all & néerl dann, lat tum) ;
  • -UE : « ou », suffixe de coordination ;

3.6. Adverbes

  • AIUSAS : « pour toujours » (cf gall eisoes)
  • DESI : hier ; (cf gall ddoe, doe, br dec’h, anc irl indé, écos an-de, mann jei)
  • ETI : encore ; (cf bret eta « donc », gall eto « de nouveau », irl eadh « ainsi »)
  • MOXSOU* : bientôt, tôt ; (cf gall moch, irl moch)
  • NU : maintenant ; (cf irl nu)
  • SINDIU : aujourd’hui ; (cf bret hiziv, gall heddiw, irl andiu, écos an-diu, mann jiu)
  • Sinnoxti* : cette nuit ; (cf bret henozh, gall heno, anc irl anocht).
  • TONI : alors, puis ;
  • INTE + adj. D Masc. ou N : adverbe de manière en « -ment » - ex. inte marou (cf gall yn fawr, mann dy vooar, br ent-) = grandement (cf gall yn, mann dy)

3.7. Prépositions et préfixes

  • AD : « vers, à » ; prép. + accusatif (cf anc irl ad- préverbe, anc gall ad « à ») adomi
  • AMBI : « autour, près de ; au sujet de » ; réfléchi (cf bret em, gall am, irl im)
  • ANDE : « sous » ; (cf bret dan, irl ann)
  • APO : « avec » ; (cf bret a, gall â)
  • ARE : « devant, auprès » ; prép. + dat. (cf gall bret er, irl air « sur »)
  • ATE : « de nouveau » ; (cf gall bret ad-, anc irl ath-, aith- « re- »)
  • AU : « de, en provenance de » ; prép. + génitif / datif (cf gall o « de », irl ó, breton de Vannes a)
  • CANTA : « avec » ; prép. → Kantimi (avec moi) (cf. gall bret gant « avec », irl gan « sans »)
  • COM, CON : « avec, en entier » ; préfixe (cf. gall cyf-, irl comh)
  •  : (1) « de, venant de (éloignement, séparation) » ; (2) « de (partitif) » ; (3) « sans », préfixe négatif ou intensif ; préposition + dat. (cf bret di, gall y, irl )
  • ENTER, ENTAR : « entre » ; prép + acc. (cf. bret etre, gall ithr, irl eidir)
  • ERI : (1) « par, au nom de, pour » ; (2) « autour de » (cf bret er « car », gall er « pour », irl air « car »)
  • ES : « hors de, sortant de » ; prép. + dat. (cf. bret eus, gall ech, irl as)
  • IN, ENI : « dans » ; préf. et prép. + dat. & acc. ; → Enimi (en moi) (cf. bret en, gall yn, irl a n-)
  • ISSOU : « dessous, au pied de, au-dessous de » ; préf. et prép. + dat. (cf bret is « bas, inférieur », gall is, irl is)
  • MEDIO : « au milieu de, au sein de » ; (cf. bret mez, anc irl mide)
  • RACO : « devant, avant » (cf bret araok « avant », dirak « devant », gall rhag)
  • SEPOS (acc) : « excepté, au-delà, outre » > « sans » ; (cf bret hep « sans », gall heb « sans », irl seach « par le passé »)
  • TO : « à, pour », prép.+ datif (to, zu germ.) → Tâmii (pour moi) (cf. br da, irl do « à »)
  • TRE, TRI : « par, à travers » ; préf. et prép. + acc. (cf gall bret tre, irl tri)
  • UXSE : « au-dessus de, en haut de » ; (cf. bret us, gall uwch « plus haut », irl ós)
  • VER : « sur, dessus »; préf. et prép. + dat. & acc. (cf bret war, gall gor, irl for)
  • VERTO : (1) « contre, vers, près de » ; (2) « en vue de, pour, envers » (cf bret ouzh, gall gwrth, anc irl fri, irl re)
  • VO : « sous »; préf. et prép. + dat. & acc. (cf gall go, irl fo)

4. Morphologie

Le faible nombre des pièces écrites connues explique qu'il soit très difficile de reconstituer la morphologie de la langue gauloise.

4.1. Déclinaisons

Il est probable qu'il existait au moins cinq cas : nominatif, accusatif, génitif, datif et instrumental/sociatif; l'existence d'un locatif est supposée pour la déclinaison des thèmes en -o ; celle d'un vocatif n'est pas assurée.

La déclinaison, pour ce que l'on en connaît, rappelle fortement celles du grec et du latin.

4.1.1. Thème en -o

Le thème en -o est le mieux attesté (qui équivaut à la seconde déclinaison latine et grecque). Comme dans les langues romanes modernes, les langues celtiques modernes n’ont plus de genre neutre d’où la difficulté de définir le genre de bon nombre de termes gaulois.

Ce thème se décline ainsi (exemples viros : « homme » (masc.) et nemeton : « sanctuaire » (neutre)) :


viros : « homme » (masc.) nemeton : « sanctuaire » (neutre)
singulier pluriel singulier pluriel
nominatif vir-os vir-oi > -i nemet-on nemet-a
accusatif vir-on, -om vir-us nemet-on nemet-a
génitif vir-i vir-on nemet-i nemet-on
datif vir-ui > -u vir-obo nemet-ui nemet-obo
instr./sociatif vir-u vir-obi nemet-u nemet-obi


Le génitif en -i paraît être une innovation commune aux langues indo-européennes occidentales (latin, celte). L’instrumental pluriel attendu est en -us mais des formes en -obi sont attestées (messamobi, gandobi) et il y a peut-être eu réfection sur les autres termes comme en vieil irlandais.

4.1.2. Thème en -a

Le thème en -a, qui équivaut à la première déclinaison latine et grecque. Il se double de thèmes en -i/-ia que l’on retrouve en sanskrit. En gaulois tardif, les deux thèmes tendent à fusionner. Ces thèmes se déclinent ainsi : touta : « peuple » et riganîa : « reine ».


touta : «  peuple » riganîa : « reine »
singulier pluriel singulier pluriel
nominatif tout-a tout-as rigan-ia rigan-ias
accusatif tout-an, -en tout-as rigan-im rigan-ias
génitif tout-as, -ias tout-anon rigan-ias rigan-ianon
datif tout-ai > e > i tout-abo rigan-i rigan-iabo
instr./sociatif tout-ia tout-abi rigan-ia rigan-iabi


4.1.3. Autres thèmes

Les autres thèmes vocaliques sont peu attestés mais on peut les reconstituer (notés * dans les exemples). Il existe des thèmes athématiques consonantiques à semi-voyelles, dont la déclinaison est très proche de la troisième déclinaison latine :

Semi-voyelle i/u (exemples de vatis : « devin » et mori : « mer ») :
vatis : « devin » mori : « mer »
singulier pluriel singulier pluriel
nominatif vat-is vat-is -eis mor-i mor-ia
accusatif vat-in, -im vat-îs mor-i mor-ia
génitif vat-es -eos vat-ion mor-es mor-ion
datif vat-e vat-ibo* ebo mor-e mor-ibo*
instr. / sociatif vat-î* vat-ibi* > ebi mor-î* mor-ibi*
magus (m.) : « garçon, valet » et medu : (n.) « hydromel » :
magus (m.) « garçon, valet » medu (n.) « hydromel »
singulier pluriel singulier pluriel
nominatif mag-us mag-oues med-u med-ua*
accusatif mag-un mag-us* med-u med-ua*
génitif mag-os ous mag-uon med-os med-uon
datif mag-ou mag-uebo med-ou med-uebo
instr./sociatif mag-u mag-uebi* med-u med-uebi*

4.2. Conjugaisons

La conjugaison des verbes gaulois est encore plus mal connue. Il semble que le gaulois, à l’instar du grec ancien, ait conservé de ses racines indo-européennes des verbes en -mi (athématiques) et en -o (thématiques). Le gaulois aurait possédé, comme le grec ancien, cinq modes : un indicatif, un subjonctif, un optatif, un impératif et un infinitif (sous la forme d’un nom verbal) et au moins trois temps : présent, futur, prétérit.

4.2.1. L'infinitif

Parmi les langues celtiques actuelles, le breton, le gallois et le mannois ont conservé une forme infinitive ; le gaélique irlandais l'a perdue. Il est possible que le gaulois ait eu une forme infinitive en -AN similaire au germanique : le breton moderne possède des infinitifs sous cette forme.

5. Liens

  • La section consacré au Gaulois sur Lexilogos : [3].



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