Moins connu que son maître, il s'illustra en premier lieu par des pièces d'inspiration nancéenne (Art Nouveau) en pâte de verre colorée, japonisantes ou inspirées par l'Égypte ancienne (après 1922 la découverte de la tombe de Toutankhamon en 1922). Après guerre, Charles Schneider se tourna vers l'industrie en créant sa propre firme avec son frère Ernest, et produisit des pièces Art Déco jusqu'à la crise économique de 1929-1931.
Les pièces dessinées ou produites par Charles Schneider sont identifiables à :
- un berlingot tricolore, bleu – blanc – rouge (1918 – 1920)
- la signature « Schneider », d'abord accompagnée d'un motif d'amphore de 1920 à 1924,
- la signature « Le Verre français » ou « Verçais » (abbréviation de la précédente).
Plus rarement, la signature « Charder » est présente sur les verreries dessinées et, dans ce cas, produites par Charles Schneider.
Liens
- Schneider, site en anglais dédié au maître-verrier et à sa production.
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