est un site de partage de connaissances et d'informations qui regroupe un fonds documentaire organisé par domaines de connaissances et une plateforme de publication libre.
Le Gaulois est une langue celtique éteinte dont l’usage est mentionné pour la dernière fois au sein de la noblesse auvergnate par Grégoire de Tours dans une de ses lettres, au VIIe siècle.
Ce site propose « une sélection des meilleurs dictionnaires en ligne ». Il offre bien plus que cela : des formulaires pour interroger directement les meilleurs dictionnaires (notamment français), pour utiliser des agents de traduction automatique. Vous y trouverez également des lexiques de langages aussi variés que le gothique, le Nahuatl, le Gaulois ou le Wallon, ainsi que des ressources de linguistique, de lexilogie, d'étymologie, d'onomastique et autres.
Il y a une dizaine d'années, Emanuele Crialese connut un succès d'estime avec ce film qui dépeignait, sur l'île de Lampedusa, un monde immuable et naturel bouleversé par un simple désir d'évasion.
Une nouvelle fois Jean Becker se tourne vers la France rurale qu'il affectionne et la saisit à travers deux périodes charnières : 1944 et la fin de l'occupation allemande ; 1958 et la fin de la France traditionnelle.
La Gaule (ou les Gaules), du latin gallia/galliæ, est le nom donné anciennement aux territoires occupés par les Gaulois entre les Pyrénées et le Rhin, territoires qui comprenaient principalement la France actuelle, la Belgique et le nord de l’Italie (Gaule cisalpine).
Le patrimoine est étymologiquement défini comme l’ensemble des biens hérités du père (de la famille, par extension). En effet, patrimonium signifie en latin « héritage du père » ; la notion est apparue au XIIe siècle.
L’une des plus grandes réussites de Stanley Kubrick, L’Odyssée de l’Espace n’en finit pas de nous ravir à chaque nouvelle vision et de nous donner, grâce à une somptueuse poésie visuelle, matière à réfléchir sur l’origine et le devenir de l’humanité.
Sorte de conte de fée, ce nouveau film de Terry Gilliam permet de retrouver l'univers excessif de son réalisateur qui aborde, dans un foisonnement d'images insolites de mort, de deuil - mais aussi d'amour -, le monde imaginaire, souvent effrayant, de l’enfance.